Ce sont trois courtes pièces nées au Festival À Corps, signées par quatre artistes parmi les plus inventifs de la scène contemporaine et portées par un seul et même groupe de 22 jeunes Poitevins d’une incroyable vitalité, tous issus de l’Atelier de Recherche Chorégraphique de l’Université de Poitiers. C’est le bouillonnant portrait d’une jeunesse hétérogène et frondeuse.Dans Castors (puisque tout est fini), Marlène Saldana et Jonathan Drillet transposent dans un futur dadaïste une tribu de castors, ces animaux bâtisseurs qui, en bande, modifient au gré de leurs besoins le cours des choses.
LA SUITE DE CET ARTICLE Souscrire abonnement |
Je vois que, hommes comme femmes, certains osent la nudité totale, d’autres se limitent à la semi-nudité.
je suppose que c’est la chorégraphie qui veut cela (et ce n’est que des extraits), pas une pudeur (ou non) des intervenants
Pourquoi certains hommes ou femmes ne sont pas nues dans ce spectacle,car la nudité
aurait vraiment sa place auprès des spectateurs.