par A São Paulo, dans la matinée du dimanche 24 mai 2015, plusieurs femmes manifestaient pour un accouchement en toute sécurité. Selon leur bannière, lors des naissances par césarienne, la mortalité infantile est trois fois supérieure à celle d’une mère et la fréquence de décès de la mère est de 3 à 5 fois supérieure à celle de l’accouchement naturel.
(Tout cela, soulignons-nous, concerne le Brésil, et nous ne savons pas si c’est vrai.) Ils s’opposent également à la pratique de l’épisiotomie, qui est considéré comme une mutilation génitale.
La photo ci-dessous montre l’activiste Sara Winter, membre du collectif « Batardes », protestant avec eux.
Ce qui est certain, c’est qu’ils veulent lutter contre la « violence à l’accouchement », et probablement la pratique de césariennes inutiles.
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