C’est le spectacle qui a mis le FAB dans tous ses états, dans tous les sens du terme. Commençons par la scène : Marina Otero est très attendue pour « Fuck Me », dernier volet d’une trilogie autofictionnelle créée en 2020 au Festival international de Buenos Aires.
Conçue à l’origine comme un solo, c’est une performance sur l’usure du corps qui est écrite par la chorégraphe argentine depuis son lit d’hôpital, alors immobilisée par une opération du dos.
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