Comme la foule fait froid, sept corps sont laissés nus dans scène, rappelant un paysage archétypal ou terriblement futuriste. L'écriture scénique est elliptique et dense ; il vise un "Rythme intérieur" qui culmine, à diriger progressivement les deux interprètes ainsi et le public dans le partenariat de musique du purgatoire et danse.
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