Merci à ceux qui ont partagé sur le groupe ffn facebook
Hypothèse perso: il a fait si chaud, beaucoup de gens ont dû être nus chez eux, et du coup, envisager d'être nus ailleurs que dans leur appartement et envisager que d'autres pratiquent le naturisme.
Chez moi, je ne m'assieds pas sur une serviette. D'autant plus que je me lave les fesses (j'utilise une douchette plutôt que du papier) chaque fois que je vais aux toilettes (voilà, vous saurez tout!)
Quant à sonner à la porte: une voisine qui s'est occupée de nos poissons en notre absence est entrée hier à l'improviste (elle avait la clef), elle croyait que nous ne revenions que dimanche. Mais j'étais habillé.
(Si on sonne à l'improviste, il est aisé de passer quelque chose avant d'ouvrir)
Maintenant, avec les canicules et sécheresses répétitives, la tendance va être de culpabiliser le "jouisseur" qui se prélasse en plein soleil.
Alors que la première canicule, mi-juin, donnait un avant-goût préoccupant de la saison, la publication par Libération d’une photo d’un homme torse nu profitant du soleil, illustration de l’interview d’un climatologue alertant sur la multiplication de ces épisodes de fortes chaleurs, avait provoqué un mouvement de protestation sur les réseaux sociaux – suivi d’un mea culpa du quotidien. Impossible, dorénavant, d’illustrer les températures insupportables avec des images évoquant des moments délicieux.
« Le simple fait qu’un journal soit interpellé sur ce sujet est bon signe, se félicite Thomas Wagner, fondateur, en 2020, du site Internet indépendant Bon Pote, majoritairement consacré à l’urgence climatique. Cela signifie que cette contradiction commence à ne plus passer auprès du public. » Le phénomène est encore récent. Journaliste, ancienne de France Télévisions devenue formatrice aux enjeux climatiques dans les rédactions et dans les écoles de journalisme, Sophie Roland se souvient : « En décembre, alors que les températures étaient anormalement hautes, on voyait encore des reportages montrant des gens en maillot de bain, et aucun éclairage s’interrogeant sur le caractère anormal de ces températures. »
Chez moi, je ne m'assieds pas sur une serviette.
Moi non plus... Je m'assois sur des tapis de spa.
C'est tout léger j'en mets où je veux. J'en ai un ou deux pliés dans un sac quand je me déplace c'est pratique que ce soit pour les pieds ou s'asseoir et ça ne coûte qu'une dizaine d'euros la centaine.