https://e1.pcloud.link/publink/show?code=XZIHAmZW3V9Ppn1yrhhk8LL39d2yRMehfaX
J'ai trouvé ce film sur le net année 70 80
Merci à priori il s'agit d'un du pack de 2 DVD vendu par https://synetechvideo.com/special-sets/french-archives-volume-2-2-discs.html
et archivé à https://www.vivrenu.com/video-la-sabliere-annees-70-80-archives-francaises-volume-2-disque-1/
C'est vieux, le floutage n'avais pas encore été inventé 🤣 🤣
mais ça rappel des souvenirs
Jean-Mi était encore très jeune dans ce film... 😉
C'était surtout l'époque du "vrai" naturisme sans chercher des histoires de travers ! ! !
Quelle fraîcheur. C'était ça le vrai naturisme. Toutes et tous à poil. Pas de paréos. Pas de floutage...Cela me rappelle de bons souvenirs, justement sur les lieux de ce tournage mais sans la piscine. On pouvait prendre des photos sans restriction car internet n'existait pas et ces photos n'étaient pas diffusées.
C'était mieux avant ! (air connu)
Je suis désolé de ne pas suivre l’avis général à propos de ce « documentaire ». Alors oui « Toutes et tous à poil. Pas de paréos. Pas de floutage. », on peut ajouter pas de rasage intime, pas de piercing, …
Mais je n’ai pas pu regarder longtemps ce pseudo reportage qui n’en est pas un. De longs plans d’ados sautant dans la piscine ou se bousculant mis bout à bout. Aucune narration. Tout cela me suggère que ces 2 heures 30 ne sont là que pour que certains puissent se rincer l’œil.
Et si on suit le lien donné par Gilles vers le site de l’éditeur qui commercialise le DVD, on arrive clairement sur une boutique pour adeptes du voyeurisme.
Les souvenirs du « bon temps du naturisme d’antan » est une excuse bancale pour moi.
S'il n4y a pas de son, de commentaires, c'est parce que ce film a vraisemblablement été effectué en Super8, qui était muet je crois. La vidéo n'existait pas et on se servait de caméra argentique.
Pour ce qui est du voyeurisme, ce film correspond à ce que l'on faisait à cette "poque. On filmait au kilomètre et on ne pouvait pas effacer à la caméra ce dont on ne voulait plus. Certes, il y avait le montage, après, pour ceux qui savaient le faire.