Ma deuxième baignade pendant ma longue sortie en VTT hier après-midi, c'était près de Rennes-sur-Loup à un endroit appelé La Corne sur la carte GR3324 ET. C'était presque au même lieu que ma première baignade depuis que j'ai commencé cette exploration des bords de la Loue (voir poste du 22 août ci-dessus), mais avec un leger changement d'endroit. :#
Depuis Qunigey prendre la N83 et quitter la route pour rentrer dans le village de Rennes-sur-Loup. Traverser le pont et tourner toute de suite à gauche. Se garer là sous les arbres. Suivre le chemin gravillonné et parfois très boueux qui est le Chemin des Gabelous et ensuite passer à travers un pré où il y aura peut-être des vaches. Après un quart d'heure ou vingt minutes de marche arriver au bord de la Loue sur une petite plage de cailloux. C'est là où je me suis baigné l'autre fois. Remonter le long de l'eau quelques pas dans un pré pour trouver deux accès à l'eau où on est plus isolé des promeneurs et cyclistes sur le chemin.
Ici l'eau est profonde et le courant est fort donc ce n'est pas pour les jeunes enfants. Mais on peut bien se baigner et s'amuser dans l'eau, se balader nu dans le pré ou traverser l'eau et se balader sur l'isle rocheux en face. 😛
salut moi j'ai déjà fait du naturisme au bord de la loue sans etre dérangé entre ounans et montbarrey
salut moi j'ai déjà fait du naturisme au bord de la loue sans etre dérangé entre ounans et montbarrey
Merci de cette information Yann. J'ai l'intention de continuer mes explorations en VTT bien au delà d'Arc-et-Senans et jusqu'au Doubs, mais je me donne jusqu'à l'été prochaine pour tout faire. Je ne serais pas étonné qu'il y ait des beaux coins pour le naturisme tout au long du Val d'Amour. Je serai particulièrement attentif entre Ounans et Montbarrey.
Une toute petite sortie aujourd'hui en fin d'après-midi, de Quingey à Chay, rive droite. En fait, je voulais revoir les rivages autour du barrage de Chay car il doit y avoit un coin par là pour se baigner. Mais l'accès doit se trouver par la rive gauche. A l'ouest je n'ai rien trouvé à ce niveau là. 🙁
Par contre, j'ai trouvé un endoit avec baignade correcte juste en aval du Moulin de Bellerive, un peu en sous des plages, textile et naturiste, de Lavans Quingey sur l'autre rive, et accessible en voiture en plus. 🙂
Depuis Quingey prendre la D17 en direction de Lombard et Arc-et-Senans. Après quelques kilometres suivre une petite route goudronnée qui part à gauche et qui déscend vers la Loue. Arriver au moulin, maintenant rénové en maison d'habitation. Il semble y avoir plusiers maisons dans ce coin très boisé. En sortant du bois, de nouveau dans les champs, prendre un petit chemin à gauche et se garer au fond, juste au dessus de la Loue.
Il y a une grande pierre plate qui s'étend dans l'eau et qui sert de plage. Les gens doivent venir ici souvent, car l'accès est facile et il y a des traces de feu de camps. Mais en cette fin d'après-midi, vers 18h00, un 3 septembre, c'est désert et je me baigne nu sans problème. Il y a une isle en face, bien boisé. L'eau ici est moyennement profonde, mais la baignade est néanmoins possible. Une voiture arrive au bout d'un moment, mais un des occupants ouvre la barrière en fer barbelé et ils poursuivent leur chemin dans le pâturage qui commence là. Ils me voient nu au bord de l'eau, mais je ne dois pas les intéresser.
C'est un coin bien pour les jeunes enfans ici, mais quelque chose me dit un pique-nique naturiste, en famille ou avec des amis, ne serait pas une chose facile. 😕
Il y a tout juste une semaine, j'ai fait encore une balade en VTT le long de la Loue, en fin d'après-midi. Il faisait très chaud. Je pars de Quingey, coté est de la Loue, et je vais à Lavans Quingey, mais je me dirige sur la plage textile, celle que j'appelle maintenant la plage du moulin de Bellerive, la plage que j'ai connue il y a si longtemps avec mon épouse et nos enfants. Les derniers textiles partent juste au moment où j'arrive, alors je ne me gêne pas pour me baigner nu, comme au bon vieux temps. :b
(Et je reprends mon texte d'un autre sujet):
Depuis Quingey, prendre la direction de Lons-le-Saunier et juste avant le giratoire, prendre une petite route à droite (vers Lavans) et aussitôt à gauche (chemin gravillonné). Ensuite au premier carrefour, descendre à droite jusqu'aux pâtures et longer sur le chemin à gauche (voitures au fond). Se garer où c'est possible. Se diriger à pied dans les champs vers la droite, en longeant la rivière ... La plage textile se trouve toujours tout droit à travers les champs.
Et j'ajoute:
Pour aller sur la plage textile traverser ces champs où vous risquez de rencontrer de vaches. :#
La plage est plutôt grande pour les bords de la Loue. Au loin, à l'autre bout du barrage, le moulin de Bellerive se dresse majuestueusement, tout rénové, probablement en maison d'habitation. L'eau est difficile d'accès. Il faut grimper par dessus de grosses pierres pour y aller, mais après le plan d'eau est large et profonde et on peut vraiment bien se baigner. L'eau est encore douce en cette fin d'été. On peut aussi grimper sur le barrage et traverser la rivière, en replongeant dans l'eau profonde à divers endroits. En aval du barrage l'eau est tourbillonante, et pas très profonde. On ne peut pas vraiment nager là, mais la baignade est sympa tout de même. 😎
Je ne viendrais pas là avec des jeunes enfants, mais la plage en sous du barrage est large et, malgré quelques bouses de vache, plutôt agréable. Je me dis qu'il est dommage que les textiles s'approprient un endroit aussi sympa, que ça vaudrait le coup qu'une centaine de naturistes se donne rendez-vous là pour un pique-nique un chaud après-midi d'été, une façon de dire que nous aussi nous avons des droits sur des endroits bien comme celui-ci. 😉
Il me plaît bien, ce petit projet de fin d'été que j'ai entrepris, l'exploration des bords de la Loue en VTT. 🙂
Bonjour, les beaux jours arrivent et je reprends mes explorations en VTT au bord de la Loue à la recherche d'endroits pour pratiquer du naturisme. Mais d'abord quelques réflexions suite à l'année dernière.
Depuis Quingey j'ai bien pu explorer jusqu'à Buffard et Champagne-sur-Loue. Et puis un jour en octobre dernièr, lors d'un des derniers beaux jours de l'automne, j'ai fait une longue sortie entre Buffard et Arc-et-Senans, jusqu'au niveau du pont de Cramans. J'ai longé la Loue, passant par des chemins agricoles. Il y avait quelques rares endroits où on a l'accès à l'eau et où on pourrait éventuellement se baigner, mais aucun endroit pour s'installer tranquillement au bord de l'eau et passer quelques moments tranquilles et nu. C'était bien décevant. Ces coins-là sont bien trop peuplés, et avec la Saline Royale d'Arc-et-Senans à proximité, les touristes sont nombreux. Bref, à éviter. Mais on m'a déjà parlé d'autres coins, plus en aval, et j'ai hâte de les explorer.
Le vendredi 30 mai je suis parti en VTT de nouveau:
Enfin il fait un peu beau, ma première sortie c'est pour aujourd'hui. A l'ouest d'Arc-et-Senans la vallée de la Loue s'ouvre très grand, et on passe de la carte IGN 3224 ET à la carte 3224 E. Je pense que ça s'appelle le Val d'Amour maintenant, une grande plaine, avec des accès vers la Loue par des chemins agricoles.
Un copain m'avait parlé d'une plage un peu cachée près de Chissey-sur-Loue. Je me gare près du pont de Chissey et je pars en vélo. Il n'avait pas tort, le copain. J'ai trouvé la plage en suivant un chemin agricole. Une belle plage bien orientée, peut-être une soixantaine de mètres de long. Il y a une voiture garée vers le petit sentier qui mène au bord de l'eau. Cette plage doit être bien connue des gens du coin, est probablement fréquentée surtout par des textiles. Il y a une famille installée, mais on est en fin d'après midi, bientôt ils s'en vont. Si tôt dans la saison l'eau est encore très froide, son niveau est haut et le courant fort. Peu-importe, je me baigne quand même, rapidement, deux fois même et je me réchauffe au soleil.
Depuis Chissey prendre la route qui va vers Ecleux et Villers-Farlay. Après le pont, au 2eme petit chemin, tourner à gauche. Si j'étais en voiture je me garerais vers le pont car le chemin n'est pas très bon. Pourtant les gens y vont en voiture. Après environ un kilomètre il y a un petit sentier en terre battue qui part vers la gauche. La plage se trouve au bout.
Enfin une plage où on peut s'installer en famille ou avec des amis, pour une journée au bord de l'eau. Mais en naturiste ? Probablement pas tout le temps, mais certains jours et à certaines heures, pourquoi pas ? Je reviendrai sur cette plage cet été pour voir si des fois il y a d'autres naturistes. Et puis tout d'un coup je m'interroge : s'il y a peu de monde, pourquoi est-ce je ne me mettrai pas nu, même s'il y a des textiles pas trop loin. La plage est grande, je peux être discret. Naturistes, devons-nous toujours céder aux textiles ?
Quelqu'un aurait de l'expérience à ce sujet ?
Le samedi 31 mai
Le beau temps se maintient et je pars de nouveau en VTT sur les bords de la Loue, dans le même coin qu'hier, vers Chissey. Aujourd'hui je suis un peu en amont par rapport à hier. Je me gare dans un parking de chasse au bout d'un chemin agricole. Je prends mon VTT et je me dirige vers la Loue, à un km de là. D'après la carte IGN ça s'appelle la Gravière par ici. Je vais tout droit vers les rives, ça tourne une fois et puis une deuxième fois et j'arrive sur une toute petite plage très bien. Du sable, de l'ombre, probablement bien exposé le matin, un endroit parfait pour quelques VTTistes de se reposer après quelques heures de vélo. Malheureusement le courant est bien trop rapide ici pour la baignade, maintenant en tout cas. On verra dans quelques semaines.
En voiture, en arrivant vers Chissey depuis Arc-et-Senans repérer des chemins de gravier qui partent sur la gauche. Prendre le premier chemin et aller tout droit jusqu'à ce que le gravier s'arrete. Se garer là. Le chemin se divise en deux chemins qui partent dans l'herbe. Prendre le chemin qui part à droite et le suivre jusqu'au rive. Il y a un panneau cloué à un arbre : nous sommes tout juste sur la ligne entre le Doubs et le Jura. Cette toute petite plage--la taille d'un timbre de la poste, on dirait en anglais--se trouve en contre bas au bout d'un petit sentier.
Comme la baignade n'est pas pour aujourd'hui, je continue à pédaler à travers les champs, en explorant les bords de la Loue. Je retourne vers Chissey et je fais une longue promenade presque jusqu'à Chamblay. Et puis je retourne à la belle plage de Chissey où je suis allé hier. Mais je raconterai ça une autre fois.
Le samedi 31 mai (bis)
Je disais que je suis retourné sur la belle plage de Chissey. Tout comme la veille, j'arrive, je repère une voiture garée à proximité et je me dirige vers la plage. Il y a trois jeunes gens textiles installés du coté de la plage en amont. Je m'installe vers la partie plus en aval et je ne me gène pas pour me mettre en tenue de peau. Je me baigne deux fois, avec un petit bain de soleil avant et après à chaque fois, et je suis discret. Tout ce que je veux c'est profiter de quelques rayons de soleil en cette fin d'après-midi sur cette plage isolée au bord d'une jolie rivière. Pour répondre à ma propre interrogation de l'autre jour, ça doit se passer comme ça la plupart du temps quand des naturistes s'installent à proximité de textiles : on cohabite plutôt en bonne intelligence. Après quelques minutes les jeunes gens s'en vont. Et peu après, je prends mon vélo et je pars aussi. :b
Samedi 14 juin--vers Chamblay
Les températures élevées des derniers jours sont tombées, l'humidité aussi et il y a petit vent agréable. Je me gare une fois de plus vers le pont de Chissey-sur-Loue, je prends mon VTT et après un tour vers la belle plage de Chissey--vraiment trop occupé par des textiles--et d'autres coins en amont, je me tourne vers l'ouest pour explorer les endroits en aval. Ainsi j'arrive vers Chamblay par la rive gauche ; il y a des plages bien habitées des deux cotés du pont d'où les jeunes du coin s'amusent à sauter dans l'eau. Visiblement, pas de naturisme possible par ici. Mais je continue le long de la rivière, toujours rive sud et c'est un vrai bonheur. Le chemin est ombragé et je roule sur de l'herbe. Il y a des balises qui renseigne sur la nature de la Loue, rivière plutôt domestiqué mais qui, par endroit, conserve sa condition naturelle. Je repère une toute petite plage juste en aval d'un barrage, mais elle est occupée par deux jeunes gens textiles qui se baignent. Je continue sur le chemin jusqu'à ce qu'il s'arrête abruptement un peu plus loin. Encore une balise et une table de piquenique.
Je fais demi-tour et j'arrivé à la petite plage ; les deux jeunes sont partis. Je m'installe et je me baigne, nu ; encore un vrai bonheur. Le niveau de l'eau est encore un peu haut, mais l'eau est très douce (pas étonnant après les fortes chaleurs de la semaine). Au loin et en amont je peux voir la plage à coté du pont de Chamblay, et il y des canoës qui arrivent (il y en a beaucoup sur la Loue). Peu importe, je termine ma baignade tranquillement et je me repose sur la plage.
Pour y arriver, se garer près du pont de Chamblay et prendre le chemin qui part vers l'ouest, couté sud de la Loue. C'est à dix minutes au maximum est juste en aval d'un petit barrage; mais quelque chose me dit que le naturisme ne se pratique pas dans le coin. Se baigner nu ici comme je fais, c'est une question de l'heure de la journée et le hasard de l'occupation, comme c'est souvent le cas le long de la Loue. Effectivement, en partant je vois qu'il y a une famille de textiles arrive.
Chamblay bis
Je passe le pont de Chamblay pour arriver sur la rive nord et je tourne à gauche dans le premier chemin. C'est un chemin qui suit la rivière et qui va loin, beaucoup plus loin que le chemin coté sud où je viens de me baigner. C'est une grande zone de bois et d'îles et d'anciens lits de la rivière qui débute ici et j'ai bon espoir de trouver une petite plage ou deux. Je vais jusqu'au bout du chemin, mais, hélas, je ne trouve pas de plage. Mais tout n'est pas négatif ; je trouve quand même trois accès à l'eau, juste bien pour un VTTiste fatigué de se poser, se reposer et se baigner.
Je réfléchis néanmoins aux possibilités pour le naturisme dans ce secteur. Tous les bons coins sont occupés par les textiles, même la belle plage de Chissey, où je me suis pas gêné l'autre jour pour me mettre nu alors qu'il y avait déjà des textiles présents. Je me demande si textiles et naturistes pourraient s'entendre en bonne intelligence sur ces plages plutôt familiales. Et j'ai un petit sentiment d'injustice.
Mais la Loue est longue, même si les aménagements de ces 100 dernières années l'ont raccourcie d'à peu près 100 kilomètres. Et je vais continuer, ces prochaines semaines, à explorer.
Entre Chamblay et Ounans
Plusieurs endroits se trouvent par ici, mais aucun ne se prête vraiment à une journée naturiste au bord de l'eau. Je dois me rappeler, pourtant, que mon but est simplement de trouver des endroits où je peux me baigner nu, pas de m'y installer pour la journée. Et lors d'une sortie récente je trouve plusieurs endroits plutôt propices sur une île un peu en amont d'Ounans.
Garé près du pont de Chamblay, je prends mon VTT et je traverse les champs, suivant des chemins agricoles et j'arrive au barrage d'Ounans. Plusieurs petites plages se trouvent par ici le long du chenal créé par le barrage, et une grande plage se trouve un peu plus loin, directement sur la Loue au bout d'un chemin. On dirait qu'un bulldozer et passé il y a pas longtemps. Dans quel but ? L'aménagement ? En tout cas ce sont des plages de gros cailloux, pas idéale. Je me dis que le weekend et par beau temps ces endroits, facilement accessible en voiture, doivent être bien peuplé par des textiles. Pourtant on est samedi après-midi et je suis presque seul. Je m'installe et je me baigne longuement dans le chenal. Quelques personnes arrivent en voiture et se balade par là mais personne ne se baigne. Plus tard dans l'après-midi, en passant en vélo de l'autre côté de la Loue, je vois que la grande plage est déserte. Je décide de revenir le lendemain pour voir si le dimanche après-midi cette plage est occupée.
Le lendemain je reviens. Quelques familles de textiles occupent les petites plages le long du chenal, mais la grande plage est vide. Je m'installe un bon moment et je me baigne bien. L'eau ici est calme et profonde. Je me régale et encore une fois je m'étonne de la douceur de l'eau en ce milieu du mois de juin. Mais pourquoi il y a personne sur cette plage ? Elle est un peu difficile d'accès car il faut traverser une petite passerelle au niveau du barrage, mais quand même. Je me promets de revenir de temps en temps pour voir si cette île d'Ounans est vraiment déserte ou si c'est simplement le hasard.
En voiture, et depuis le village d'Ounans, suivre les petites pancartes indiquant « Les bords de la Loue ». Le chemin passe à travers des champs ver l'est jusqu'aux berges où il tourne abruptement vers l'ouest pour suivre la Loue. Se garer au bout de ce chemin qui est bien carrossable. Descendre un petit chemin vers le barrage et vous y êtes. Le chenal passe vers la gauche et au moins trois petites plages s'y trouvent, des deux côtés de l'eau. Traverser la passerelle et suivre un chemin toujours vers l'ouest pour trouver la grande plage.
